En 1947, John Steinbeck et Robert Capa voyagent quarante jours en URSS, de Moscou à Stalingrad en passant par la Géorgie et l'Ukraine pour un reportage destiné au New York Herald Tribune.Ce journal traduit par Philippe Jaworski, est pour la première fois publié en français, dans son intégralité avec les photographies de Capa.
La saga des Camondo, de l'Inquisition espagnole au génocide nazi, n'est pas seulement un récit historique retraçant l'épopée de ces grands seigneurs séfarades. C'est aussi une méditation sur la solitude d'un homme abandonné par sa femme, inconsolé de la mort de son fils, qui consacra sa vie et sa fortune à reconstituer au coeur de la plaine Monceau une demeure aristocratique du XVIII? siècle, devenue le musée Nissim de Camondo.
Ce sont ou bien des pages brèves où l'auteur recrée, avec une intensité surprenante, les drames en grisaille de la vie quotidienne et ses minces joies, ou bien les premières grandes oeuvres où le sens de la nature et la reconnaissance sans concessions de la destinée humaine sont largement exprimés. Dans l'économie et le dépouillement des unes, comme dans l'inimitable équilibre des autres, avec la tendresse retenue et la compassion que l'on sait, Tchékhov rend compte d'une Russie profonde qui n'a pas changé avec les années.
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Comme leur nom le dit à peine, tant il semble aujourd'hui redondant, les Romantiques allemands, pour l'essentiel poètes et conteurs du début du XIX? siècle, familiers du mystère, du rêve et des univers enfouis dans la mémoire allemande, ont aussi, comme en écho à la Révolution française, ouvert leur pays, son histoire, sa langue, sa culture philosophique, scientifique et religieuse et même sa littérature à la curiosité universelle, révélant une étonnante puissance d'investigation du monde, souvent éclairée d'humour et d'amour de la vie. Jean-Pierre Lefèbvre
Comme leur nom le dit à peine, tant il semble aujourd'hui redondant, les Romantiques allemands, pour l'essentiel poètes et conteurs du début du XIXe siècle, familiers du mystère, du rêve et des univers enfouis dans la mémoire allemande, ont aussi, comme en écho à la Révolution française, ouvert leur pays, son histoire, sa langue, sa culture philosophique, scientifique et religieuse et même sa littérature à la curiosité universelle, révélant une étonnante puissance d'investigation du monde, souvent éclairée d'humour et d'amour de la vie.
Jean-Pierre Lefèbvre