La rencontre entre un auteur majeur de la bande dessinée et un éminent spécialiste des questions énergétiques et de l'impact sur le climat a abouti à ce projet, comme une évidence, une nécessité de témoigner sur des sujets qui nous concernent tous. Intelligent, limpide, non dénué d'humour, cet ouvrage explique sous forme de chapitres les changements profonds que notre planète vit actuellement et quelles conséquences, déjà observées, ces changements parfois radicaux signifient.
Jean-Marc Jancovici étaye sa vision remarquablement argumentée en plaçant la question de l'énergie et du changement climatique au coeur de sa réflexion tout en évoquant les enjeux économiques (la course à la croissance à tout prix est-elle un leurre ? ), écologiques et sociétaux. Ce témoignage éclairé s'avère précieux, passionnant et invite à la réflexion sur des sujets parfois clivants, notamment celui de la transition énergétique.
Christophe Blain se place dans le rôle du candide, à la façon de son livre "En cuisine avec Alain Passard" et de "Quai d'Orsay" signé avec l'expertise d'un coauteur : un pavé de 120 pages indispensable pour mieux comprendre notre monde, tout simplement !
Pas moins de 3 hommes et 40 animaux ont été retrouvés morts sur les plages bretonnes. L'identité du tueur est un secret de polichinelle : les algues vertes. Un demi-siècle de fabrique du silence raconté dans une enquête fleuve.Des échantillons qui disparaissent dans les laboratoires, des corps enterrés avant d'être autopsiés, des jeux d'influence, des pressions et un silence de plomb. L'intrigue a pour décor le littoral breton et elle se joue depuis des dizaines d'années. Inès Léraud et Pierre Van Hove proposent une enquête sans précédent, faisant intervenir lanceurs d'alerte, scientifiques, agriculteurs et politiques.
En juin 2019, Étienne Davodeau entreprend, à pied et sac au dos, un périple de 800km, entre la grotte de Pech Merle et Bure. Des peintures rupestres, trésors de l'humanité encore protégés aux déchets nucléaires enfouis dans le sous-sol, malheur annoncé pour les espèces vivantes. Étienne Davodeau, sapiens parmi les sapiens, interroge notre rapport au sol. Marcheur-observateur, il lance l'alerte d'un vertige collectif imminent et invite à un voyage dans le temps et dans l'espace.De quelle planète les générations futures hériteront-elles ? Qu'allons-nous laisser à celles et ceux qui naîtront après nous ? Comment les alerter de ce terrible et réel danger pour leur survie ? Il est de notre responsabilité collective d'avancer sur les questions énergétiques pour protéger la «peau du monde».Dans cette marche à travers la France, il est parfois accompagné d'amis, de sa compagne, mais aussi de spécialistes, qu'il convoque sur ces sentiers pour qu'ils nous racontent l'histoire unique du sol de notre planète, ou encore celle du nucléaire et de ses déchets, dangereux pendant plusieurs centaines de milliers d'années.À la marge du témoignage et du journalisme augmenté, le Droit du sol marque le grand retour d'Étienne Davodeau à la bande dessinée de reportage.
Joann Sfar - Coco - Mana Neyestani - Catel - Pascal Rabaté - Patricia Bolanos - Paco Roca - Bahareh Akrami - Hippolyte - Shabnam Adiban - Lewis Trondheim - Deloupy - Touka Neyestani - Bee - Winshluss - Nicolas Wild - Hamoun Femme, vie, liberté : avoir vingt ans en Iran et mourir pour le droit des femmes.
Le 16 septembre 2022, en Iran, Mahsa Amini succombe aux coups de la police des moeurs parce qu'elle n'avait pas bien porté son voile. Son décès soulève une vague de protestations dans l'ensemble du pays, qui se transforme en un mouvement féministe sans précédent.
Marjane Satrapi a réuni trois spécialistes : Farid Vahid, politologue, Jean-Pierre Perrin, grand reporter, Abbas Milani, historien, et dix-sept des plus grands talents de la bande dessinée pour raconter cet évenement majeur pour l'Iran, et pour nous toutes et nous tous.
À Yopougon, les problèmes vont bon train ! Aya tente de concilier un stage à la Solibra et sa relation compliquée avec Didier... mais surtout, elle s'engage dans la lutte pour les droits des étudiants de l'université de Cocody ! De son côté, Albert, rejeté par sa famille, galère pour se loger. Et ce n'est rien comparé à Bintou, devenue la star détestée de la série «Gâteuse de foyer» ! Quant à Inno, exilé en France et sans-papiers, il n'est pas au bout de ses peines car Paris est dur comme caillou. Mais tous comptent prendre en main leur destin, quitte à mener une petite révolution !
4 000 ans d'une histoire universelle pour la première fois racontés dans une BD exceptionnelle.
Il y a 4 000 ans, Jérusalem était une petite bourgade isolée, perchée sur une ligne de crête entre la Méditerranée et le désert. Aujourd'hui, c'est une agglomération de presque un million d'habitants, qui focalise les regards et attire les visiteurs du monde entier.
Entre-temps, les monothéismes y ont été inventés, les plus grands conquérants s'en sont emparé, les plus grands empires s'y sont affrontés. Tour à tour égyptienne, perse, juive, grecque, romaine, byzantine, arabe, croisée, mamelouke, ottomane, anglaise, jordanienne, israélienne et palestinienne, Jérusalem est au coeur des intérêts et des passions du monde. Berceau du judaïsme, du christianisme et de l'islam, elle est aujourd'hui une capitale spirituelle pour plus de la moitié de l'humanité.
En 10 chapitres, acteurs et témoins, célèbres ou anonymes, toutes celles et ceux qui ont arpenté Jérusalem au fi l des siècles racontent ce mille-feuille d'influences composites. Rien n'est inventé : scènes et dialogues proviennent de plus de 200 sources publiées et d'archives inédites, pour donner chair à ce récit choral.
Catherine Meurisse a grandi à la campagne, entourée de pierres, d'arbres, et avec un chantier sous les yeux : celui de la ferme que ses parents rénovent, afin d'y habiter en famille. Une grande et vieille maison qui se transforme, des arbres à planter, un jardin à imaginer, la nature à observer : ainsi naît le goût de la création et germent les prémices d'un futur métier : dessinatrice. Avec humour et tendresse, l'auteure raconte le paradis de l'enfance, que la nature, l'art et la littérature, ses alliés de toujours, peuvent aider à conserver autant qu'à dépasser. Les Grands Espaces raconte le lieu d'une enfance et l'imaginaire qui s'y déploie, en toute liberté.
Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier...En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne.Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ?Teodoro Martini, le narrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Teodoro, tout en discontinuité chronologique. Il y est question d'un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio Villa, des Chaussettes noires, et de Maurice Thorez... Des soupes populaires et de la mort des hauts-fourneaux... En tout, du prix à payer pour devenir transparent.Avec Quéquette Blues, publié dans les années 80, et les Années Spoutnik, publié au tournant du siècle, Bella ciao peut être vu comme le dernier volet d'une trilogie, pensée comme la colonne vertébrale de l'univers narratif de Baru.
Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier...En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne.Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ?Dans troizième tome, Teo, le narrateur, poursuit le récit familial, que ses souvenirs en marabout d'ficelle restituent en autant d'histoires vives et hautes en couleur, tragiques ou comiques. Celle de sa grande frousse quand il allait porter la gamelle à son père au pied des hauts fourneaux, dans le vacarme assourdissant des tuyères et la chaleur étouffante de la coulée. Celle de la «morra», sans doute le jeu de mains le plus vieux du monde, qui se joue à deux et qui, immanquablement, se termine en castagne ! Celle de Domenico, le grand-père de Teo, qui pouvait passer de longs moments, assis sur sa chaise, à contempler l'eau du robinet couler dans l'évier. Celle encore où il est question des garibaldiens de l'Argonne et d'un certain Lazzaro Ponticelli, devenu Lazare après sa naturalisation en 1939, qui fut pendant quelques mois le dernier poilu de 14-18 encore vivant et, à ce titre, reçut l'hommage de la Nation !
Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier...En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne.Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ?Teodoro Martini, le narrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Teodoro, tout en discontinuité chronologique. Il y est question d'un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio Villa, des Chaussettes noires, et de Maurice Thorez... Des soupes populaires et de la mort des hauts-fourneaux... En tout, du prix à payer pour devenir transparent.Avec Quéquette Blues, publié dans les années 80, et les Années Spoutnik, publié au tournant du siècle, Bella ciao peut être vu comme le dernier volet d'une trilogie, pensée comme la colonne vertébrale de l'univers narratif de Baru.
Après Kobané, où il est allé en 2014 et où il a pu rencontrer l'armée des femmes et l'ensemble des résistants kurdes en lutte contre Daech, Zerocalcare s'est rendu en Irak au printemps 2021, pour témoigner de la situation des Ézidis de Shengal.
Méconnue par la communauté internationale, cette minorité religieuse a été victime des pires massacres au fil des dernières années, au point de perdre son territoire avant de parvenir à le reconquérir grâce à l'aide des Kurdes. Dans cette enclave dont l'autonomie est sans cesse remise en question, les Ézidis s'efforcent de mettre en oeuvre les principes du confédéralisme démocratique kurde, à commencer par la libération des femmes, la coexistence entre les peuples et l'autodéfense. Pris en étau entre les diplomaties irakienne et turque, qui souhaitent toutes deux la disparition de cette entité, les habitants de Shengal subissent encore des bombardements incessants. Ce sont leurs combats, leurs questionnements et l'actualité de leurs luttes que Zerocalcare met en lumière, soucieux d'accompagner une résistance qui s'efforce de survivre dans l'indifférence assourdissante de l'Occident.
De l'Antiquité à Perrault et Grimm, Lou Lubie présente les versions authentiques et croustillantes des contes, où la fin heureuse s'arrose à la vodka et le prince n'est pas si charmant. À travers ces récits savoureux, l'autrice aborde avec humour une réflexion sur l'éthique des contes : violence, sexisme, racisme... une exploration culturelle et littéraire passionnante !
Ce livre explique ce que les femmes savent déjà, sans savoir qu'elles le savent. Leur cerveau conscient, intelligent, leur néocortex surdéveloppé d'être humain, rempli de peurs, les poussent à accepter une surmédicalisation de la naissance. Elles ont fini par croire qu'accoucher était forcément douloureux, dangereux, violent...
Or, à force d'interventions extérieures, on finit par inhiber le cerveau reptilien, celui qui, pourtant, sait parfaitement comment faire depuis des millénaires.
Ce livre explique la physiologie. Il raconte ce qui se passe lorsque les femmes accouchent sans peurs et sans gestes parasites. Rendre aux femmes la connaissance intime du fonctionnement de leur corps, c'est leur rendre leur pouvoir. Celui d'être naturellement fortes et pourvues pour donner la vie.
Je mens. Je mens toujours. Je dis que je ne me souviens de rien, que je suis né du matin. Je dis que je comprends, qu'à votre place, sans doute, j'aurais ri aussi. Je mens pour un peu de repos, d'indulgence, pour le pardon de ma dissemblance. Je mens aussi pour ne pas vous massacrer à mon tour. Je mens toujours car, en réalité, je me souviens de tout.
De Sapiens aux vegans, l'épopée mondiale de nos assiettes Dès lors que les humains maîtrisent le feu, ils inventent la cuisine. Saviez-vous que Sapiens a imaginé la cuisson vapeur et la congélation ? Que les Mésopotamiens ont créé les soupes, le pain, la bière, les fours ? Que la gastronomie et l'art de la table ont été des symboles du pouvoir politique ?
Les Grandes Découvertes ont changé le monde, mais aussi la façon de se nourrir. D'Amérique, les conquistadors rapportent des épices, des piments, la pomme de terre... Les missionnaires portugais amènent la technique de la friture aux lointains samouraïs qui confectionnent les premiers tempuras. Ce sont les prémices de la mondialisation.
Au XIXe siècle avec la révolution industrielle émerge une cuisine capitaliste : c'est le début de l'industrie agroalimentaire. Au XXIe siècle, les révolutions bio et locavores sont une réaction contre les méfaits de cette uniformisation culinaire et gastronomique.
Pour finir en beauté, retrouvez vingt-deux recettes de plats cités au fil de notre récit que vous pourrez réaliser à la maison. Pour la première fois, un livre raconte l'histoire de l'Humanité à travers l'évolution de la cuisine.
3e tome de Blast, le récit d'une terrifiante descente aux enfers, profondément humaine et touchante, par Manu Larcenet.
Dans ce 3e épisode de Blast, Polza Mancini, toujours en garde à vue après la mort d'une jeune femme, déroule ses souvenirs d'errance, sa quête éperdue du « blast » ? ces moments magiques qui le transportent ailleurs ?, mais aussi ses séjours en hôpital psychiatrique, ses terreurs et ses cauchemars...
Dernier tome du chef-d'oeuvre de Manu Larcenet, réussite artistique exemplaire, Blast ne peut laisser indifférent. De par sa forme d'abord, 4 albums denses, sombres, tragiques, bourrés jusqu'à la gueule d'une humanité débordante et d'une sauvagerie fascinante. Mais aussi par ses qualités graphiques et narratives hors du commun qui en font un ovni éditorial. Ce 4ème tome clôt avec une maestria scénaristique rare, le parcours d'un homme captivant. Une conclusion coup de poing qui vous laissera KO.
Sous les présidences de Pompidou et de Giscard d'Estaing, la France connaît de véritables «années de plomb» comme en Italie. Dans ces années-là, on tue un juge trop gênant. On braque des banques pour financer des campagnes électorales. On maquille en suicide l'assassinat d'un ministre... Cette violence politique, tache persistante dans l'ADN de cette V? République à bout de souffle, est aujourd'hui largement méconnue.En sillonnant le pays à la rencontre des témoins directs des événements de cette époque - députés, journalistes, syndicalistes, magistrats, policiers, ou encore anciens truands -, en menant une enquête approfondie, Étienne Davodeau et Benoît Collombat nous révèlent l'envers sidérant du décor de ce qui reste, malgré tout, le cher pays de leur enfance...Une collection qui emprunte la forme des éditions de poche (format de 14,8 x 20 cm, reliure brochée), avec une finition soignée et un papier crème qui permet une reproduction fidèle au travail des auteurs. À mettre en poche pour voyager dans l'imaginaire des grands auteurs de Futuropolis !
Agata, Lucia et Rosalia étaient trois femmes portant des prénoms de saintes, des martyres sacrifiées sur l'autel des valeurs dans l'Italie du XXe siècle. À travers ces trois nouvelles inspirées d'histoires vraies, Nine Antico brosse un portrait de société révélateur de la condition féminine dans un monde tiraillé par la morale, la religion, la guerre, la corruption. Enfant cachée, femme « fautive », combattante anti-mafia : aucune ne laisse indifférent.
Après Il était deux fois Arthur, Nine Antico confirme son attachement aux Éditions Dupuis, où elle publie un ouvrage percutant, interrogeant précisément et subtilement la place des femmes dans nos sociétés.
Le château d'Hérouville est un véritable condensé des années 70. En y créant ses célèbres studios, Michel Magne découvre l'amour fou, rassemble les plus grands créateurs de l'époque et révolutionne le sens de la fête.
1970. Marie-Claude rencontre Michel Magne, génial compositeur de musiques de films. C'est le coup de foudre. Elle le rejoint dans son château d'Hérouville où Bowie, Elton John et bien d'autres stars se rassemblent. Mais le succès attise les convoitises. Derrière le conte de fée, la tragédie se profile. Ce roman vrai révèle le destin inouï de Michel Magne au coeur de la pop culture des années 50 à 80.
Cette bande dessinée est composée de huit récits mettant en scène le combat de femmes méconnues, d'origines et d'époques diverses, qui ont bravé les normes sociales de leur temps pour choisir leur destin : Sonita, rappeuse afghane et exilée militante ; Nellie, journaliste d'investigation au XIX e siècle ; Cheryl, athlète marathonienne ; Phulan, reine des bandits et figure des opprimés en Inde ; Temple, interprète des animaux... Musicienne avant-gardiste, utopiste réaliste, rock star ou journaliste, les Culottées ont fait voler en éclat les préjugés.
Voici l'histoire de la cellule terroriste qui a organisé l'assassinat de 130 personnes au Bataclan, sur des terrasses de cafés parisiens et devant le Stade de France, le 13 novembre 2015.
Abdelhamid Abaaoud, djihadiste belge membre de l'État islamique, est l'un des responsables de cette cellule. Plusieurs mois avant les attentats, il est identifié comme une menace importante par les services de renseignements. S'engage alors une course contre la montre pour tenter de le localiser, de le neutraliser et d'intercepter ses commandos.
Dans cette reconstitution extrêmement documentée, le journaliste Soren Seelow raconte l'histoire de cette traque et retrace, jour après jour, la préparation de ces attentats, depuis leur conception en Syrie jusqu'à l'infiltration des terroristes en Europe. On y découvre l'impuissance des services de renseignements français et européens face à la détermination de l'État islamique. Après les attentats de Paris, cette cellule frappera de nouveau à Bruxelles le 22 mars 2016.
Élaborée à partir de dossiers judiciaires, d'écoutes téléphoniques, de photos, de notes des services de renseignements français et de rapports confidentiels belges, cette enquête approfondie nous permet de mieux comprendre comment cette tragédie a été possible.
C'est l'histoire d'un homme, jeune, qui se nourrit d'un croissant par jour. Simplement parce qu'il n'arrive pas à joindre les deux bouts. Demain, il sait qu'il dépassera son découvert autorisé de 400 euros à la banque. Il cherche une solution à ce problème. Ce faisant, il déambule dans la ville, occasion de réflexions, de rêveries, de souvenirs, mais aussi de rencontres. L'histoire est partagée en trois jours: aujourd'hui, hier, avant-hier.
Des femmes qui ne font que ce qu'elles veulent! Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, rappeuse afghane, journaliste d'investigation ou reine des bandits... Les Culottées ont fait voler en éclats les préjugés. Trente portraits drôles et sensibles de femmes qui ont inventé leur destin.EISNER AWARD 2019 DU MEILLEUR LIVRE ÉTRANGER