«Je ne savais pas que les enfants avaient failli se faire tuer dans le volume précédent.Quand j'ai appris que c'était Pépère qui avait fait le coup, j'ai pigé un truc:qui ne connaît pas Pépère ne sait pas de quoi l'être humain est capable.»Benjamin Malaussène
Sept, Mosma et Maracuja, les derniers-nés de ma tribu, n'auraient pas dû grandir. Vingt ans plus tard les voilà jetés dans un monde on ne peut plus explosif, où on kidnappe Georges Lapietà, l'homme d'affaires le plus cinglé de son espèce, où ça mitraille à tout va pour le récupérer, où les romanciers prétendent écrire au nom de la vérité vraie quand tout le monde ment à tout le monde. Tout le monde sauf moi, bien sûr. Moi, comme d'habitude, je morfle.Benjamin Malaussène
La profiler Ludivine Vancker enquête dans une mine abandonnée du nord-est de la France, où des cadavres vieux de plusieurs dizaines d'années ont été découverts.
Pourtant, l'ADN du meurtrier potentiel découvert sur place est identique à celui d'une affaire récente. La mise au jour d'un troisième charnier marqué du même ADN, datant cette fois des années 1920, complique encore ses investigations.
Une enquêtrice de l'Office anti-stupéfiants, l'élite de la lutte anti-drogue, qui a tout à prouver.Un policier des Stups borderline qui n'a plus rien à perdre.Un clan manouche qui lutte pour son honneur et sa survie.Avec la rigueur qu'on lui connaît, DOA immerge son lecteur dans le quotidien des acteurs du trafic de came; son indiscutable talent de romancier nous arrime à la destinée de ses personnages, à leurs relations complexes et fragiles; son style, d'une précision presque brutale, colle au plus près de cet univers de violence et de solitude.
À New York, au printemps 2008, alors que l'Amérique bruisse des prémices de l'élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d'écrire le nouveau roman qu'il doit remettre à son éditeur d'ici quelques mois. Le délai est près d'expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d'université, Harry Quebert, l'un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d'avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l'innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l'enquête s'enfonce et il fait l'objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d'écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s'est-il passé dans le New Hampshire à l'été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ? Sous ses airs de thriller à l'américaine, La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert est une réflexion sur l'Amérique, sur les travers de la société moderne, sur la littérature, sur la justice et sur les médias.
Une Suisse pas si tranquille que ça.
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l'été 2018, un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances. Il est loin d'imaginer qu'il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s'est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ?
Avec la précision d'un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au coeur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
La suite de Harry Quebert.
Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d'une jeune femme, Alaska Sanders, est retrouvé au bord d'un lac. L'enquête est rapidement bouclée, la police obtenant les aveux du coupable et de son complice.
Onze ans plus tard, l'affaire rebondit. Le sergent Perry Gahalowood, de la police d'État du New Hampshire, persuadé d'avoir élucidé le crime à l'époque, reçoit une troublante lettre anonyme. Et s'il avait suivi une fausse piste ?
L'aide de son ami l'écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, inspiré de leur expérience commune, ne sera pas de trop pour découvrir la vérité.
« Avec Mathilde, jamais une balle plus haute que l'autre, du travail propre et sans bavures. Ce soir est une exception. Une fantaisie. Elle aurait pu agir de plus loin, faire moins de dégâts, et ne tirer qu'une seule balle, bien sûr. ».
Dans ce réjouissant jeu de massacre où l'on tue tous les affreux, l'auteur use avec brio de sa plume caustique. Avec cette oeuvre de jeunesse, il fait cadeau à ses lecteurs d'un roman noir et subversif qui marque ses adieux au genre. Dialogues cinglants, portraits saisissants, scénario impitoyable : du pur Pierre Lemaitre.
Un numéro de téléphone, un exemplaire de La Peau de chagrin et un briquet de la Légion étrangère. C'est tout ce qui est retrouvé sur le cadavre d'un homme abandonné dans un bassin du jardin des Tuileries. Alors qu'il piétine déjà dans une enquête sur la disparition de trois jeunes femmes, le commandant Julien Delestran est chargé de l'affaire. Le numéro de téléphone est sa première piste : c'est celui du CNAOP, l'organisme permettant aux enfants nés « sous X » de retrouver leurs parents biologiques. Mais tandis que le commandant essaie d'avancer sur cette nouvelle enquête, la précédente se rappelle à lui quand sa hiérarchie lui adjoint l'aide d'une psychologue. Tout d'abord sceptique face à cette « ingérence », Delestran est bien obligé de reconnaître que Claire Ribot sait mettre au jour la vérité aussi bien que le plus fin des limiers. Et qu'elle ne sera pas de trop pour sonder, avec son groupe, les tréfonds de l'âme humaine...
Chimiste de formation, Jean-François Pasques est capitaine de police. Après une quinzaine d'années à Paris, notamment à la Section Criminelle de la 1ère DPJ, il travaille désormais à Nantes en Sécurité Publique. La police satisfait son appétit de curiosité humaine, et Fils de personne met en scène ces personnages hauts en couleurs auxquels il est confronté quotidiennement dans son métier.
La première enquête de Franck Sharko !
En décembre 1991, quand Franck Sharko, tout juste sorti de l'école des inspecteurs, débarque au 36 quai des Orfèvres, il comprend rapidement que ses années d'expérience à s'occuper de la petite délinquance du nord ne lui serviront à rien. Ici, il a tout à réapprendre...
Dès son arrivée, on le conduit aux archives où il est chargé de reprendre, avec un regard neuf, l'affaire des Disparues du Sud parisien. L'état des lieux est simple : entre 1986 et 1989, trois femmes d'une trentaine d'années ont été enlevées dans les parkings de leurs immeubles et retrouvées dans des champs en banlieue, violées et frappées de multiples coups de couteau. Malgré des centaines de convocations, de nuits blanches, de procès-verbaux, le prédateur court toujours. Alors l'enquête continue en arrière-plan.
Sharko y consacre tout son temps jusqu'à ce qu'un soir, un homme paniqué se pointe au 36. Il vient d'entrer en possession d'une photo figurant une femme couchée dans un lit, les mains attachées aux montants, la tête enfoncée dans un sac en papier marron et reposant lourdement sur la poitrine. Une photo derrière laquelle une adresse a été écrite à la machine.
Lorsque le jeune inspecteur décide d'aller y effectuer un contrôle d'usage, il tombe sur une scène de crime tout aussi intenable qu'incompréhensible...
Virgil Solal, soldat des forces spéciales, sait à quel point notre monde (pré) apocalyptique peut être dangereux. Sa fille est mort-née à cause de la pollution atmosphérique. Il décide donc de faire payer ceux qu'il tient pour responsables : les grands patrons, les financiers, les politiques. Il devient alors un éco-terroriste à la tête de Greenwar (sorte de branche armée de Greenpeace) dont la population soutient l'action. Il kidnappe le patron de Total et annonce que d'autres dirigeants de grandes entreprises suivront. Si la multinationale ne paie pas la rançon, l'otage mourra. La firme est-elle prête à débourser 5 milliards de dollars pour sauver un homme responsable de milliers de crimes ? D'autant que cette somme sera restituée si l'entreprise s'engage à financer les énergies renouvelables au détriment des énergies fossiles.
Un capitaine de police aussi calme qu'empathique et une psycho-criminologue terrassée par des crises de panique sont chargés de négocier avec le ravisseur. Radical, déterminé, il n'a rien à perdre. Bien trop intelligent pour être muselé et piégé par les vieilles ficelles du profilage et de la tactique policière, son combat rencontre un écho et un soutien planétaires. L'équilibre des forces se grippe quand celui qui tient le rôle du méchant se révèle justicier.
Qui est le criminel ? Le preneur d'otage qui veut sauver la planète et l'humanité, ou le dirigeant d'entreprise dont le cynisme, la cupidité et la vision à court terme condamnent des milliers d'innocents ?
« Il y a des ténèbres qu'aucun soleil ne peut dissiper. » Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L'animal a des yeux humains. Ce n'est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l'Ariège...
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s'empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d'une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.
Maître du thriller, Bernard Minier a été en 2020, avec son précédent roman, La Vallée, l'auteur de polars le plus lu en France. Il est traduit et salué dans le monde entier. La Chasse est son neuvième roman.
Norilsk est la ville de Sibérie la plus au nord et la plus polluée au monde. Dans cet univers dantesque où les aurores boréales se succèdent, les températures peuvent descendre sous les 60°C.
Au lendemain d'un ouragan arctique, le cadavre d'un éleveur de rennes émerge des décombres d'un toit d'immeuble, arraché par les éléments. Boris, flic flegmatique banni d'Irkoutsk, est chargé de l'affaire.
Dans cette prison à ciel ouvert, il découvre une jeunesse qui s'épuise à la mine, s'invente des échappatoires, s'évade et aime au mépris du danger. Parce qu'à Norilsk, où la corruption est partout, chacun se surveille.
Et la menace rôde tandis que Boris s'entête...
« Je crois que quelqu'un est en train d'agir comme s'il se prenait pour Dieu... ».
Un appel au secours au milieu de la nuit.
Une vallée coupée du monde.
Une abbaye pleine de secrets.
Une forêt mystérieuse.
Une série de meurtres épouvantables.
Une population terrifiée qui veut se faire justice.
Un corbeau qui accuse.
Une communauté au bord du chaos.
Une nouvelle enquête de Martin Servaz.
« Tout en menant de main de maître son histoire, Minier poursuit une réflexion sur le mal qui nous concerne tous. » Le Figaro littéraire.
« L'un des maîtres désormais incontesté du suspense à la française frappe un grand coup. » Bernard Lehut, RTL.
Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël.Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné.Pourquoi moi?Je dois avoir un don...
1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente. Le jeune inspecteur Valentin Verne est muté à la brigade de Sûreté, fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime. Car la science qui progresse, mêlée à l'ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité. Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour l'irrationnel, Valentin sait en décrypter les codes. Nommé à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d'un criminel insaisissable connu sous le surnom du Vicaire ? Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ?Un premier volet haletant. Lire.Prix Maison de la presse 2021.
Une île de l'Atlantique, battue par les vents, le brouillard et la neige...
Un flic qui a disparu depuis six ans et dont les nouvelles missions sont classées secret défense...
Sa résidence surveillée, forteresse imprenable protégée par des vitres pare-balles...
La jeune femme qu'il y garde enfermée...
Et le monstre qui les traque.
Dans les brumes de Capelans, la nouvelle aventure du capitaine Coste se fera à l'aveugle.
D'étranges signes tracés à la peinture noire sur des portes dans tout Paris. À première vue, on pourrait croire à l'oeuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique.
Un cadavre, émasculé, qui rouvre les yeux sur la table d'autopsie. Un portable qui se met à sonner dans le corps d'un jeune toxico, mort de brûlures inexplicables. Malgré quinze ans de terrain en Seine-Saint-Denis, Victor Coste, capitaine de police, se prépare au pire.
Et que penser de ces lettres anonymes qui dessinent une première piste : celle d'un mystérieux dossier, le « Code 93 » ?
Une piste qui, des cercles huppés parisiens aux quartiers déshérités, fera franchir à Coste les limites du périphérique, et de la raison...
Six heures du matin : Berthe, cent deux ans, canarde l'escouade de flics qui a pris d'assaut sa chaumière auvergnate.
Huit heures : l'inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger vide son sac, et le récit de sa vie est un feu d'artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de veuve noire et de nazi enterré dans sa cave. Alors... Aveux, confession ou règlement de comptes ? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée, mais il sent qu'il va falloir creuser. Et pas qu'un peu.
À Malceny, dans le 93, on est habitués aux règlements de comptes. Mais un nouveau prédateur est arrivé en ville et, en quelques jours, les trois plus gros caïds du territoire sont exécutés. Le capitaine Coste et son équipe vont devoir agir vite, car leur nouvel ennemi s'implante comme un virus dans cette ville laissée à l'abandon, qui n'attend qu'un gramme de poudre pour exploser. Une ville où chacun a dû s'adapter pour survivre : des milices occultes surentraînées, des petits retraités dont on devrait se méfier, d'inquiétants criminels de 12 ans, des politiciens aveugles mais consentants, des braqueurs audacieux, des émeutiers que l'État contrôle à distance de drone. Et pendant ce temps, doucement, brûle la ville.
La dernière affaire du capitaine Coste ? Elle se passe en enfer...
« Le maître du polar. » ELLE « Scénario au réalisme effarant. Dialogues aux petits oignons. Sens de la mise en scène. Pourvu qu'il récidive ! » L'Express
Jusqu'au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l'auteur de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.
Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012, il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées.
Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?
Suivez le fil infernal Une scène de pure folie dans un chalet. Une victime au visage réduit en bouillie à coups de tisonnier. Et une suspecte atteinte d'une étrange amnésie. Camille Nijinski, en charge de l'enquête, a besoin de comprendre cette subite perte de mémoire, mais le psychiatre avec lequel elle s'entretient a bien plus à lui apprendre. Car avant de tout oublier, sa patiente lui a confié son histoire. Une histoire longue et complexe. Sans doute la plus extraordinaire que Camille entendra de toute sa carrière...
Tout d'abord, mademoiselle Nijinski, vous devez savoir qu'il y a cinq protagonistes. Toutes des femmes. Écrivez, c'est important : la journaliste', la psychiatre', la kidnappée', la romancière'... Et concentrez-vous, parce que cette histoire est un vrai labyrinthe où tout s'entremêle. Quant à cette cinquième personne, elle est le fil dans le dédale qui, j'en suis sûr, apportera les réponses à toutes vos questions.
«Si les vieilles dames se mettent à buter les jeunots, si les doyens du troisième âge se shootent comme des collégiens, si les commissaires divisionnaires enseignent le vol à la tire à leurs petits-enfants, et si on prétend que tout ça c'est ma faute, moi, je pose la question:où va-t-on?»Ainsi s'interroge Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel, payé pour endosser nos erreurs à tous, frère de famille élevant les innombrables enfants de sa mère, coeur extensible abritant chez lui les vieillards les plus drogués de la capitale, amant fidèle, ami infaillible, maître affectueux d'un chien épileptique, Benjamin Malaussène, l'innocence même («l'innocence m'aime») et pourtant... pourtant, le coupable idéal pour tous les flics de la capitale.