Maya a disparu.
Une course contre la montre s'engage sur le terrain pour les hackeurs du Groupe 9 qui cherchent à déjouer la conspiration des fauves.
Les fauves, une poignée de puissants qui s'attaquent à nos libertés.
Leur plan : créer le chaos, s'approprier toutes les richesses et régner sans limites.
Mais qui est 9 ?
Ce nouveau thriller de Marc Levy est la suite passionnante de l'aventure des 9 héros intrépides et attachants rencontrés dans C'est arrivé la nuit.
9 Robins des Bois d'aujourd'hui, 9 hors la loi qui oeuvrent pour le bien au péril de leur vie.
Un roman d'espionnage engagé qui dévoile de manière éblouissante les dérives de notre époque.
C'est arrivé la nuit Le premier tome de la série 9.
Mot de l'auteur :
« Depuis vingt ans, j'écris pour voir le monde en couleurs...
Pour me calmer aussi.
À quoi sert d'être écrivain, si ce n'est pour raconter des histoires qui interpellent, pour se poser des questions ?
Je m'en suis posé à chaque page, alors j'ai mené l'enquête, résolu, aussi mordu qu'un reporter.
Je suis parti à la rencontre des vrais protagonistes, des hors-la-loi au coeur d'or, des vilains bien sous tous rapports, des manipulateurs, des faussaires, des passeurs, des assassins en col blanc, des putains magnifiques, des journalistes risquant leur peau pour que la vérité éclate, et ce faisant j'ai découvert l'indicible.
J'avais pour habitude de me laisser entraîner par deux personnages.
Cette fois, ils sont 9.
J'ai tout fait pour entrer dans leur bande.
Et ils m'ont accepté.
Cette année, nul besoin de leur dire au revoir à la dernière page.
Parce que l'histoire continue, et elle est loin d'être terminée.
Bienvenue dans le monde de 9 ! » Marc Levy
Nicholaï Hel est l'assassin le plus doué de son époque et l'homme le plus recherché du monde. Son secret réside dans sa détermination à atteindre une forme rare d'excellence personnelle : le shibumi. Après avoir été élevé dans le Japon de l'après-guerre et initié à l'art subtil du go, il est désormais retiré dans sa forteresse du Pays basque. Il se retrouve alors traqué par une organisation internationale de terreur et d'anéantissement - la Mother Company - et doit se préparer à un ultime affrontement.
Shibumi, le chef-d'oeuvre de Trevanian, est un formidable roman d'espionnage et une critique acerbe de l'Amérique. Avec, toujours, l'intelligence et l'humour noir qui sont la marque de fabrique de cet auteur exceptionnel.
Julian a volontairement troqué son job lucratif à la City contre une librairie dans une petite station balnéaire de la côte est anglaise. Mais à peine est-il installé qu'un visiteur surgi de nulle part vient bouleverser sa nouvelle vie : Edward, immigré polonais habitant la vaste demeure en bordure de la ville, semble en savoir beaucoup sur sa famille, et porter trop d'intérêt à la bonne marche de son entreprise.
Lorsqu'une lettre parvient entre les mains d'un haut gradé des Services, l'avertissant qu'une taupe organiserait la fuite d'informations confidentielles, son enquête le conduit jusqu'à cette paisible localité du Norfolk.
Dans L'Espion qui aimait les livres, John le Carré révèle les affres et les doutes des agents secrets, dans l'exercice de leur fonction comme derrière les portes closes de leur foyer. Par-dessus tout, il dénonce comme jamais auparavant les faiblesses du Renseignement britannique. Un roman passionnant, point d'orgue d'une oeuvre grandiose.
Sergueï Skripal, un ancien espion militaire russe exilé en Angleterre, et sa fille sont retrouvés inanimés dans un jardin public de Salisbury. Overdose, conclut la police locale. Mais les services de renseignement anglais et européens soupçonnent un empoisonnement à l'arme chimique.L'agresseur des Skripal a-t-il été commandité par le Kremlin ? La Première ministre britannique en est convaincue. Poutine, lui, nie farouchement.Entre l'Angleterre et Moscou, Paris, Prague, Dubaï et Washington, deux anciens de la DGSE, Ava Garnier et Joss Kerven, mènent une enquête à haut risque pour le compte de l'European Intelligence Agency sur cette affaire moins évidente qu'il n'y paraît.Tuez Skripal ! est un thriller géopolitique fondé sur une histoire vraie qui a monopolisé l'attention médiatique en 2018 et 2019. La fiction vertigineuse élaborée par l'auteur va à rebours des idées reçues...
Un agent du renseignement disparaît après une opération catastrophique de récupération d'otages en Somalie. Deux journalistes d'investigation meurent accidentellement alors qu'ils enquêtaient sur l'assassinat d'un couple de touristes dans l'Atlas marocain. À la croisée des deux affaires, l'agent, devenu clandestin, s'associe à un producteur de documentaires utilisé par les services français et à une psychologue d'origine israélienne pour braquer des fonds colossaux circulant entre des narcotrafiquants d'Amérique latine et des Pasdaran iraniens. À quoi l'argent de ce hold-up est-il destiné ? La question, au coeur de l'intrigue, se double d'une réflexion sur le rôle de la manipulation dans cet univers parallèle qu'est le monde cloisonné du renseignement. De Paris à la Somalie, de l'Afrique à l'Islande et, pour finir, au Groenland, les trois protagonistes triomphent de maints obstacles, dont le moindre n'est pas la trahison, avant de confronter le lecteur à un dénouement qui fait la part belle au facteur humain.
Londres, été 2018. Nat, ex-recruteur d'agents doubles soviétiques pour les services secrets britanniques, est désormais un quinquagénaire au placard. Sa vie n'a rien d'exaltant, malgré le soutien inconditionnel de Prue, son épouse, et de Florence, sa jeune et brillante collègue qui surveille les agissements d'un oligarque ukrainien. Chaque lundi soir dans son club, il affronte au badminton - sa passion - un nouveau venu, un certain Ed, grand gaillard déconcertant et farouche détracteur du Brexit...
Alors qu'il coule une retraite tranquille, Peter Guillam, ex membre au service de Sa Majesté est rattrapé par une ancienne affaire d'espionnage. Interrogé par les nouveaux maîtres du Service, une génération qui n'a que faire des luttes menées jadis par les Occidentaux contre le bloc communiste, que peut dire Guillam pour sa défense ? Les intérêts supérieurs des années 1960 sont-ils audibles aujourd'hui ? Deux conceptions du renseignement s'affrontent.
Avril 1921. Après trois ans de guerre civile, alors que la famine fait rage en Russie bolchévique, Lénine instaure une Nouvelle Politique Économique plus libérale (la NEP) et décide d'échapper au blocus général en échangeant diamants et bijoux du tsar et de l'aristocratie contre de la nourriture et des équipements. Devant négocier avec les bijoutiers détenteurs du marché à Paris, Londres ou Anvers, il est contraint de faire appel à des intermédiaires, bureaucrates au jeu trouble ou agents véreux. Il se heurte aussi à des émigrés de l'armée blanche aux abois qui veulent distraire les joyaux à leur profit. Un trafic juteux se met en place à Revel en Estonie. Maxime Issaïev, agent de la Tchéka et futur von Stierlitz infiltré en Allemagne nazie, est chargé de démanteler le réseau et d'arrêter les coupables. Cela le mène des bas-fonds de Moscou aux prisons estoniennes par des chemins semés d'espions internationaux et de voyous parfois au grand coeur. Éblouissante fresque de gentlemen cambrioleurs, de tueurs à gages et de révolutionnaires oeuvrant au grand rêve soviétique.
Octobre 2017. Daesh perd du terrain. Un mystérieux cacique de l'organisation islamiste contacte les services français et déclare vouloir faire défection. Victoire Le Lidec, jeune analyste de la Direction générale de la sécurité extérieure, déçue par les perspectives de carrière qui lui sont offertes, décide de frapper fort. Son objectif:instrumentaliser le recrutement de ce transfuge pour monter sa propre opération de contre-terrorisme. Personne au sein de sa hiérarchie n'y croit, jugeant le projet trop complexe.Seul recours pour Victoire:manipuler son ancien instructeur, Nikolaï Kozel, ex-légionnaire et légende vivante de la Boîte, qui maîtrise comme personne le métier d'officier traitant. Kozel n'est pas en bonne posture:le contre-espionnage français le soupçonne de compromission avec une puissance étrangère. Sa fragilité sera-t-elle un atout pour Victoire, ou un obstacle? Car l'espionnage, c'est avant tout une aff aire d'hommes... et de femmes.