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Les rumeurs les plus folles courent sur « la Fille des marais » de Barkley Cove, en Caroline du Nord. Pourtant Kya n'est pas cette créature sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. Abandonné à l'âge de dix ans par sa famille, c'est grâce au jeune Tate qu'elle apprend à lire et à écrire, découvre la science et la poésie. Mais Tate, appelé par ses études, doit partir à son tour. Et lorsque l'irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même...
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Embarquez pour une incroyable épopée au milieu des mers déchaînées !
1740. Le vaisseau de guerre royal Le Wager a été envoyé en mission secrète pour piller les cargaisons de l'Empire espagnol en Amérique du Sud. Mais il fait naufrage après avoir passé le cap Horn. Une poignée de malheureux survit sur une île désolée au large de la Patagonie. Cannibalisme, meurtres, mutineries : leur vie devient un enfer, tandis que trois groupes s'affrontent sur la stratégie pour rejoindre le Royaume-Uni. Alors que tout le monde croyait que l'équipage avait disparu, le premier groupe de 29 rescapés réapparait au Brésil 283 jours après la catastrophe maritime. Mais une fois rentrés en terres anglicanes, commence alors une autre guerre, des récits cette fois, afin de sauver son honneur et sa vie face à l'Amirauté et au grand public.
Journaliste au New Yorker, David Grann est l'auteur de The White Darkness, La Cité perdue de Z et Le Diable et Sherlock Holmes, disponibles chez Points. -
« Aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné sur terre de seconde chance ».
À Macondo, petit village isolé d'Amérique du Sud, l'illustre famille Buendia est condamnée à cent ans de solitude par la prophétie du gitan Melquiades... Dans un tourbillon de révolutions, de guerres civiles, de fléaux et de destructions, elle vit une épopée mythique, à la saveur inoubliable, qui traverse les trois âges de la vie : naissance, vie et décadence... Ce roman époustouflant est un chef-d'oeuvre du XXe siècle.
Né en 1928 en Colombie, Gabriel García Marquez a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982.
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« Avec une maîtrise rare, un souffle pour le moins lyrique, Marie Vingtras nous donne une histoire forte, peuplée d'êtres solitaires, violents, en quête de rédemption ».
Bruno Corty, Le Figaro.
Le blizzard fait rage en Alaska.
Au coeur de la tempête, un jeune garçon disparaît. Il n'aura fallu que quelques secondes, le temps de refaire ses lacets, pour que Bess lâche la main de l'enfant et le perde de vue. Elle se lance à sa recherche, suivie de près par les rares habitants de ce bout du monde. Une course effrénée contre la mort s'engage alors, où la destinée de chacun, face aux éléments, se dévoile.
Marie Vingtras est née à Rennes en 1972. Blizzard est son premier roman. -
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres et de cadavres. Parmi les survivants, un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites. Dans la pluie, la neige et le froid, ils avancent vers les côtes du Sud, la peur au ventre : des hordes de sauvages cannibales terrorisent ce qui reste de l'humanité. Survivront-ils à leur voyage ?
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En vérité, l'insurrection contre mes parents, contre la pauvreté, contre ma classe sociale, son racisme, sa violence, ses habitudes, n'a été que seconde. Car avant de m'insurger contre le monde de mon enfance, c'est le monde de mon enfance qui s'est insurgé contre moi. Je n'ai pas eu d'autre choix que de prendre la fuite. Ce livre est une tentative pour comprendre.
É. L.
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Un fils apprend le décès de son père. Ils s'étaient éloignés ; un malentendu, des non-dits, et la distance était devenue infranchissable. Le fils revient à Trappes, le quartier de son enfance, pour vider l'appartement. Il y découvre une enveloppe de cassettes audio, chacune datée et portant un nom de lieu. Son père y raconte sa vie en France, année après année. Notre narrateur décide de partir sur les traces de ce taiseux dont la voix semble comme resurgir du passé.
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Années 1930. Wall Street traverse l'une des pires crises de son histoire et la Grande Dépression frappe l'Amérique. Un magnat de la finance, époux aimant d'une fille d'aristocrates, a su faire fortune. Le couple préfère vivre à l'écart de la haute société new-yorkaise. Tout semble si parfait chez les heureux du monde... Pourtant, le vernis s'écaille, et le lecteur est pris dans un jeu de piste. Et si derrière les légendes américaines se cachaient d'autres destinées plus sombres et plus mystérieuses ?
Hernan Diaz est un écrivain et enseignant américain. Son premier roman Au loin (La Croisée, 2018) a été lauréat du prix Page/America. Best-seller international, Trust a reçu le prix Pulitzer en 2023. -
Devant un immeuble du XIIIe arrondissement de Paris, Agnès rejoint en pensée Boris et Tsila, ses grands-parents, et tous ceux qui vivaient ici autrefois. Rue du Château-des-Rentiers, ces Juifs originaires d'Europe centrale avaient inventé une vie en communauté. Le temps a passé, mais qu'importe puisque grâce à l'imagination, on peut avoir à la fois 17, 22, 53 et 90 ans. Le passé et le présent se superposent et l'utopie vécue par Boris et Tsila devient à son tour le projet d'Agnès.
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« La vie de mes parents, c'est comme la guerre du Liban. Plus je m'y plonge, moins j'y comprends quelque chose. J'arrive à situer les protagonistes, quelques moments marquants me restent, puis, ensuite, je me perds. Trop de dates, d'événements, de trous, de silences, de contradictions ».
Sabyl a la trentaine. Il est né à Paris de parents libanais, tenus éloignés de leur pays par la guerre. Pourtant, à Paris, Beyrouth est partout. La famille élargie est restée là-bas. Seuls quelques allers-retours et WhatsApp les relient. Une part manque. Sabyl veut la combler. Micro en main, il leur demande de raconter. -
« Leonardo Padura est au sommet de son talent, à la croisée de la littérature, du roman noir et de l'histoire. »
EL PAlS
La Havane, 2016. La ville reçoit Barack Obama, les Rolling Stones et un défilé Chanel : l'effervescence est à son comble. Débordée, la police fait appel à Mario Conde, ancien flic devenu bouquiniste, pour enquêter sur le meurtre d'un censeur de la Révolution, détesté par les artistes. En parallèle, Conde a commencé à écrire un roman policier sur les bas-fonds de la ville en 1910. Deux enquêtes et deux ouragans sur la Havane : le passé et le présent auront toujours des liens insoupçonnés.
Leonardo Padura, né à La Havane en 1955, est romancier, essayiste, journaliste et scénariste. Traduit dans plus de quinze pays, c'est un des grands noms de la littérature mondiale.
Traduit de l'espagnol (Cuba) par René Solis
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Jenny Fields ne veut pas d'homme dans sa vie mais elle désire un enfant. Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière. Puis ils décident tous deux d'écrire, et Jenny devient une icône du féminisme. Garp, heureux mari et père, vit pourtant dans la peur : dans son univers dominé par les femmes, la violence des hommes n'est jamais loin. Un livre culte, à l'imagination débridée, facétieuse satire de notre monde.
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La plus précieuse des marchandises ; un conte
Jean-Claude Grumberg
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- 1 Octobre 2020
- 9782757878729
Il était une fois, dans un grand bois, une pauvre bûcheronne et un pauvre bûcheron.
Non non non non, rassurez-vous, ce n'est pas Le Petit Poucet ! Pas du tout. Moi-même, tout comme vous, je déteste cette histoire ridicule. Où et quand a-t-on vu des parents abandonner leurs enfants faute de pouvoir les nourrir ? Allons...
Dans ce grand bois donc, régnaient grande faim et grand froid. Surtout en hiver. En été, une chaleur accablante s'abattait sur ce bois et chassait le grand froid. La faim, elle, par contre, était constante, surtout en ces temps où sévissait, autour de ce bois, la guerre mondiale.
La guerre mondiale, oui oui oui oui oui.
J.-Cl. Grumberg -
Mensonges, arnaques et menaces à Venise : Brunetti aux prises avec les milieux mafieux de la Sérénissime.
Alors que Venise sort de la pandémie du Covid, une amie d'enfance du commissaire Brunetti le sollicite d'urgence. Elle soupçonne son gendre d'être mêlé à des affaires sordides, mettant ainsi en danger toute sa famille. Aidé de la signorina Elettra et de la fidèle Claudia Griffoni, Brunetti mène l'enquête dans les milieux mafieux de la ville. Au risque de désobéir à sa hiérarchie, il va faire éclater au grand jour une vérité terrible...
« Cette nouvelle aventure du commissaire est aussi addictive que les précédentes. » Public -
Moi, Alfa Ndiaye, dernier fils du vieil homme, j'ai vu les obus malicieux, les ennemis aux yeux bleus, le ventre ouvert de mon plus que frère, Mademba. Par la vérité de Dieu, j'ai entendu le capitaine Armand et son sifflet de mort, les cris des camarades. Ils disent que je mérite une médaille, que ma famille serait fière de moi. Moi, Alfa Ndiaye, dernier fils du vieil homme, je suis tirailleur sénégalais.
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Le temps d'un voyage en train, Clotilde revient sur les événements saillants de son existence. La découverte de la poésie, le féminicide parental, le diagnostic de sa bipolarité. Mais surtout, sa rencontre il y a dix ans avec Guillaume, leur lien épistolaire addictif et l'implosion de leur idylle au contact du réel.
Guillaume est revenu. Et il est toujours gay, et qui plus est en couple. Ravagée par la résurgence de cet amour impossible, Clotilde espère trouver une solution d'ici Heidelberg, le terminus de son train. -
« La narration est dotée d'une beauté intérieure et d'une humanité extraordinaire. Absolument magnifique ».
« Le masque et la plume », France Inter.
Ce livre est l'histoire d'un crime. Celui de Catherine Burgod, tuée de vingt-huit coups de couteau, dans le bureau de poste où elle travaillait à Montréal-la-Cluse. Il a fallu sept ans à Florence Aubenas pour en reconstituer tous les épisodes - tous, sauf un. Le résultat est saisissant. Au-delà du fait divers et de l'enquête policière, L'Inconnu de la poste est le portrait d'une France que l'on aurait tort de dire ordinaire. Car si le hasard semble gouverner la vie des protagonistes de ce récit, Florence Aubenas offre à chacun d'entre eux la dignité d'un destin.
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Blanc : Histoire d'une couleur
Michel Pastoureau
- Points
- Points Histoire
- 4 Octobre 2024
- 9791041416899
Le blanc, ou la couleur devenue incolore.
Le sixième ouvrage d'une série consacrée à l'histoire sociale et culturelle des couleurs en Europe.
Pureté, ivoire, céruse, propreté, neige, linceul, colombe, vide, fleur de lis, lumière.
Contrairement à une idée reçue, le blanc est une couleur à part entière, au même titre que le rouge, le bleu, le vert ou le jaune. De l'Antiquité jusqu'au coeur du Moyen Âge, il a même constitué, avec le rouge et le noir, une triade chromatique jouant un rôle de premier plan dans la vie quotidienne et dans le monde des représentations. Dans ce sixième opus consacré à l'histoire culturelle des couleurs en Europe, Michel Pastoureau parcourt tous les aspects de cette couleur et en retrace la richesse symbolique, bien plus positive que négative : couleur des dieux, du Christ et des rois, elle s'apparente autant à la pureté qu'à la paix, la sagesse ou la propreté. Associant la précision de ses recherches à ses infaillibles talents de conteur, Michel Pastoureau nous emporte à nouveau au coeur de la couleur et de l'histoire des représentations.
Historien, spécialiste des couleurs, des images, des bestiaires et des symboles, Michel Pastoureau est directeur d'études émérite de l'École pratique des hautes études. Il a notamment publié L'Étoffe du diable (1991), Une histoire symbolique du Moyen-Âge occidental (2004) ou encore Le Loup. Une histoire culturelle (2019). Son autobiographie Les Couleurs de nos souvenirs a reçu le prix Médicis Essai en 2010. -
« Ovidie livre un texte électrisant, intime et corrosif, dans lequel elle raconte la trajectoire qui l'a amenée à s'extraire de la sexualité hétérosexuelle. »
Causette
Ce livre est la confession intime d'une femme qui a décidé de ne plus avoir de relations sexuelles. Au fil des pages, écrites dans un souffle, et dont chaque ligne porte le poids d'une colère longtemps contenue, elle raconte ce jour où elle n'a plus été capable de partager son lit avec qui que ce soit. Entre lassitude face à la répétition des mêmes scénarios érotiques et refus général de céder aux injonctions faites aux femmes, la narratrice s'octroie alors le droit de se tenir désormais éloignée de la sexualité. Une étape qui l'amène à revisiter certaines anecdotes marquantes de son existence, bouleversant le regard qu'elle porte aujourd'hui sur son parcours de femme, mais aussi sur les relations sociales formatées par une culture hétérocentrée. Un texte sans concession, toujours sincère et poignant, qui n'épargne ni les hommes ni les femmes, ni l'autrice elle-même, et ne laisse personne indifférent. -
« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur ».
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Polina en URSS, Pauline à Saint-Étienne. Elle se dédouble. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums. Il lui faudra tenir sa langue sans trahir ni oublier. -
J'ai fixé les yeux de celui qui me demandait de le suivre jusqu'au bout du monde. J'y ai vu la rivière, le lac long et, au milieu, moi et ce jeune homme aux larges épaules et au regard confiant.
Almanda a 15 ans quand elle tombe amoureuse de Thomas, jeune Innu de l'immense lac Pekuakami. Orpheline québécoise d'origine irlandaise, elle quitte les siens pour le suivre dans cette existence nomade, brisant bientôt les carcans imposés aux femmes autochtones pour apprendre la chasse et la pêche. Ancré dans une nature omniprésente, sublime et très vite menacée, son destin se mêle alors à celui, tragique, d'un peuple ancestral à la liberté entravée.
Prix Nature Nomade 2021.
Prix VLEEL 2020.
Prix France-Québec 2020. -
La familia grande c'est l'histoire d'une famille qui aime débattre, rire et danser, qui aime le soleil et l'été. Mais que faire face au poids du secret ? Que faire quand on sait ? Que faire quand son jumeau est victime, qu'il dit et qu'il demande le secret. Que l'on est jeune. Que l'on aime sa mère et son beau-père. Que la famille éclatera si l'on dit. Que l'on a personne à qui dire. Quand la mère refuse d'entendre. Que l'on admire et que l'on aime. Que l'emprise s'exerce. Ecrire. La familia grande c'est la famille de Camille Kouchner. Le récit incandescent d'une femme qui ose enfin raconter ce qui a longtemps fait taire la Familia grande. Camille Kouchner écrit le silence, et parle pour tous ceux qui n'osent pas.
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Peuplées d'adolescents rebelles, d'étranges sorcières, de fantômes à la dérive et de femmes affamées, les douze histoires qui composent ce recueil manient avec brio les codes de l'horreur, tout en apportant au genre une voix radicalement moderne et poétique.
Une exploration magistrale des abîmes de l'âme humaine et des voies les plus souterraines de la sexualité, du fanatisme, des obsessions. -
Immense fresque de l'univers concentrationnaire soviétique, L'Archipel du Goulag a été écrit dans la clandestinité. Les milliers de lettres et témoignages reçus par Alexandre Soljénitsyne après la publication de son roman Une journée d'Ivan Denissovitch constituent la base de cette oeuvre, qu'il qualifie d'« investigation littéraire » ; ces documents font de lui le dépositaire du malheur de tout un peuple. Secrètement sorti d'URSS, ce texte explosif suscite, lors de sa parution en Occident en 1974, une prise de conscience des réalités du régime soviétique.
Édition abrégée inédite. Préface inédite de Natalia Soljénitsyne.