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VERONESI SANDRO
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Marco Carrera, il protagonista del nuovo romanzo di Sandro Veronesi, è il colibrì. La sua è una vita di continue sospensioni ma anche di coincidenze fatali, di perdite atroci e amori assoluti. Non precipita mai fino in fondo: il suo è un mo
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Il fiore non sa di essere un fiore finché non fiorisce. Settembre nero racconta la fioritura di un ragazzo di dodici anni, Gigio Bellandi, durante un’estate in Versilia nel 1972: la scoperta della musica, della lettura, dell’inquietudine...
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Un albero ghiacciato, di un rosso vivo, pulsante, intriso di sangue. Una strage indicibile si è consumata ai piedi di quell’albero: undici vite strappate da undici cause di morte diverse, avvenute contemporaneamente, in un lampo. I quaranta
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« Tu es un colibri parce que, comme le colibri, tu mets toute ton énergie à rester immobile. Tu réussis à t'arrêter dans le monde et dans le temps, tu réussis à arrêter le monde et le temps autour de toi, et même parfois tu réussis à le remonter, à retrouver le temps perdu, tout comme le colibri est capable de voler à reculons. Et c'est pour cette raison qu'il fait si bon vivre près de toi. » C'est ainsi que Luisa, la femme qu'il aime et qui ne cesse de lui échapper, s'adresse à Marco Carrera. Mais qu'advient-il d'un homme lorsque la passion et la tragédie s'invitent ensemble au coeur d'une nuit d'été ?Une virtuosité narrative époustouflante. Le Figaro littéraire.Une épopée pleine de surprises. Les Inrockuptibles.Un final qui nous essore le coeur. Elle.Un monument de beauté. Le Journal du dimanche.Prix Strega. Prix du livre étranger France Inter / Le Point 2021.Traduit de l'italien par Dominique Vittoz.
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Pietro Paladini est immobile. Dans l'oeil du cyclone. Il ne sort plus de sa voiture, garée au bas de l'école de sa fille, à Milan. Ce quadragénaire séduisant que la vie avait épargné vient de perdre sa femme, Lara. Il attend de souffrir, mais ce n'est pas si facile de ressentir la perte. Les amis et les anonymes viennent lui parler, l'étreindre, partager ce temps suspendu, ce « chaos calme» où il se réfugie désormais. Les collègues de travail à la veille d'une fusion financière sans précédent, un frère fumeur d'opium, une belle-soeur qui se dénude en pleine crise de nerfs, tous à un moment laissent tomber leurs masques. Tous renoncent à la comédie sociale. Sur cette situation digne de Beckett, Sandro Veronesi construit un roman émouvant, ample, magistralement tissé : le mélange de l'intime dans ce qu'il a de plus vibrant et du réel dans ce qu'il a de plus dérangeant.Dans le sillage d'un héros qui n'a rien d'héroïque, éminemment contemporain et furieusement attachant. Jeanne de Ménibus, Madame Figaro.
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Commandant
Sandro Veronesi, Edoardo de Angelis
- Grasset
- En Lettres D'ancre
- 27 Septembre 2023
- 9782246835059
Gibraltar, 3 octobre 1940. Salvatore Todaro, le Commandant du Cappellini, sous-marinier de la Marine italienne, doit décider de la profondeur de navigation. Franchir le détroit de Gibraltar expose au plus grand des dangers, les Anglais tirent en continu. Mais Todaro a l'habitude des missions périlleuses. Et celle-ci n'est pas des moindres : tendre une embuscade au milieu de l'Atlantique.
Après des jours d'ennui et de diagonales inutiles, un navire est enfin repéré. Un cargo commercial. Il navigue dans la zone identifiée, tous feux éteints. Son pavillon demeure invisible. Mais l'Enseigne de vaisseau distingue un canon sur son pont. Todaro n'hésite pas : il le torpille. Bientôt, des ennemis rejoignent le périmètre du sous-marin à la nage. « Commandant, qu'est-ce qu'on fait ? ». Cette question, Todaro se la pose depuis des jours. Il prend alors la décision, enfreignant tous les ordres reçus, de secourir ceux qui étaient jusqu'à présent des adversaires et qu'il considère désormais comme des naufragés. De là, une cohabitation de plusieurs jours dans un espace exigu met les nerfs de son équipage à rude épreuve. Ainsi chargé, le sous-marin ne peut plus s'immerger, faisant prendre tous les risques à ses propres hommes...
À travers les voix de plusieurs membres de l'équipage, Sandro Veronesi, avec le réalisateur italien Edoardo de Angelis, reconstruit cet épisode bien réel de la Seconde Guerre mondiale, avec toute la puissance narrative qui est la sienne. Le Commandant Todaro, sous leur plume, devient un personnage inoubliable d'humanité et de force de caractère. Car sauver des vies en mer n'est pas seulement une obligation légale, mais bien une obligation morale, comme le proclame le Commandant : « Nous sommes des marins, des marins italiens, nous avons deux mille ans de civilisation derrière nous, et nous agissons en conséquence. » Traduit de l'italien par Dominique Vittoz -
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“Si dicono tante cose di lui, che era a bordo del Malaspina quando ha affondato la British Fame, che è un mago, un fachiro, un ipnotizzatore, che non dorme mai”: questo sanno del loro Comandante gli uomini...
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