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MORESCO ANTONIO
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Questa è una storia di solitudini e silenzi. Un uomo vive come un eremita in mezzo alla foresta, lontano dagli affanni del mondo.
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Evento inspiegabile, inconcepibile: la luce scompare a poco a poco dal mondo. Ma è proprio questo misterioso e crescente buio che permette di cogliere ciò che abbiamo sotto gli occhi ma non sappiamo e vogliamo vedere, di rileggere tutta la
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Moresco compone il più vivo, lirico e universale dei libri su Leopardi: racconta una giovinezza macerata di dubbi e illuminata di illusioni; ne attraversa il pensiero e l’opera ragionando su cosa sia – e cosa non dovrebbe essere – la letter
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Cosa sarebbe successo se Dante subito dopo aver scritto la Vita nova si fosse fermato? Come avremmo guardato a «questo libro rivoluzionario, questo libro ineffabile, questo libro patologico, questo libro di fantasmi, questo libro di sangue,
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“Lettore irredento, se tu sei uno di quelli che aspettano ancora il capolavoro, ho qui per te uno scrittore altrettanto idiota che si è messo in testa di scrivere un capolavoro.” Questa frase, pronunciata dal Gatto, l’editore che prende la
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Con la sua lucidità rabdomante, La specie folle, già uscito in passato con il titolo Il grido, è a un tempo dichiarazione di guerra e d’amore nei confronti della nostra cultura. Una gemma della produzione di Moresco, che lo conferma come un
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« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant » : ainsi commence La Petite Lumière. C'est le récit d'un isolement, d'un dégagement mais aussi d'une immersion. Le lecteur, pris dans l'imminence d'une tempête annoncée mais qui tarde à venir, reste suspendu comme par enchantement parmi les éléments déchaînés du paysage qui s'offrent comme le symptôme des maux les plus déchirants de notre monde au moment de sa disparition possible.
L'espace fait signe par cette petite lumière que le narrateur perçoit tous les soirs et dont il décide d'aller chercher la source. Il part en quête de cette lueur et trouve, au terme d'un voyage dans une forêt animée, une petite maison où vit un enfant. Il parvient à établir un dialogue avec lui et une relation s'ébauche dans la correspondance parfaite des deux personnages. Cette correspondance offre au narrateur l'occasion d'un finale inattendu.
La petite lumière sera comme une luciole pour les lecteurs qui croient encore que la littérature est une entreprise dont la portée se mesure dans ses effets sur l'existence. -
« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.
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Le récit commence, se construit, et s'achève comme une fable :
Un vieux clochard, arrivé au plus bas de la déchéance sociale et physique, entre cartons souillés et sacs en plastique, dont le seul ami est un fidèle pigeon, fait la rencontre de la « jeune fille merveilleuse » qui le sauve par amour.
Comme dans une fable, il instaure avec le lecteur un échange qui ressemble à celui du conteur et de son public et, loin de se complaire dans l'analyse psychologique des personnages, il s'appuie sur les passions fondamentales, moteurs muets des belles actions. Mais dans cette fable, rien de mièvre ni d'enfantin, rien de gratuit ni de mécanique. Rien de prévisible non plus, mais une ouverture qui surprend et suscite stupeur et émerveillement.
Dans une scène qui a la pureté des grands récits fondateurs, la jeune fille merveilleuse sort ce personnage, comme venu des poubelles de Beckett, de ses cartons, prend un soin infini à le laver, à l'épouiller, à le remettre sur pied. Mais l'amour le plus pur et le plus mystérieux peut-il être plus fort que la vie ? a-t-il vocation à durer ? Si l'amour est sans pourquoi, doit-on chercher plus d'explications à ce qui le tue qu'à ce qui le fait naître ?
Moresco écrit à propos de Fable d'amour : « Dans ce roman sont présents la cruauté et la douceur, la désolation et l'enchantement, la réalité et le rêve, la vie et la mort, qu'on ne peut séparer si l'on veut parler véritablement et profondément de l'amour. Il en résulte une vision extrême et une méditation inactuelle sur l'amour, qui ne cache rien de ses vérités féroces mais suggère une invention possible de la vie au milieu de toute l'obscurité qui nous entoure. » Pour sortir de l'histoire d'amour et des paroles de l'amour, pour sortir des lois de nécessité, il faut rentrer dans l'ordre de la fable d'amour. Alors seulement on comprendra que si la mort est plus forte que la vie, l'amour est plus fort que la mort.
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Trois moments de la vie du narrateur, trois ouvertures dans l'obscurité d'une existence, scandent ce récit troublant et vertigineux : les années de séminaire, celles de l'activisme politique et celles des débuts de sa vocation littéraire. Cette épopée individuelle retrace une lente et douloureuse tentative de renaissance qui puise sa vitalité dans le dérèglement des perspectives et l'obsession du franchissement des limites - autant de jeux de l'éternité susceptibles de transfigurer le monde.
Les trois expériences peuvent être vues comme trois tableaux de notre histoire récente : les années cinquante-soixante, pesantes et silencieuses, qui précèdent les explosions ; les luttes et les tumultes des années soixante-dix venues clore une époque inaugurée avec les grandes révolutions politiques des dix-huit et dix-neuvième siècles ; enfin, les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, fascinantes et spectrales, qui amorcent le déploiement furieux de la modernité.
Porté par une prose imagée inventive et foisonnante, presque hypnotique, ce roman apparaît d'une originalité exceptionnelle dans le paysage littéraire contemporain.
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FIABA D´AMORE DEL VECCHIO PAZZO E DELLA MERAVIGLIOSA RAGAZZA MORTA
MORESCO, ANTONIO
- SEM - SOCIETA EDITRI
- 22 Avril 2021
- 9788893901550