Filtrer
Support
Langues
Prix
Jean Giono
-
L'homme qui plantait des arbres
Olivier Desvaux
- Gallimard Jeunesse
- Folio Cadet Classique
- 8 Mars 2018
- 9782075092661
En Provence, dans une région aride et sauvage, un berger solitaire plante des milliers d'arbres. Au fil des ans, les collines autrefois nues reverdissent et les villages désertés reprennent vie. Voici l'histoire d'Elzéard Bouffier, le silencieux, l'obstiné, celui qui réconcilie l'homme et la nature.
-
Le hussard sur le toit : avec son allure de comptine, ce titre intrigue. Pourquoi sur le toit ? Qu'a-t-il fallu pour l'amener là ? Rien moins qu'une épidémie de choléra, qui ravage la Provence vers 1830, et les menées révolutionnaires des carbonari piémontais. Le Hussard est d'abord un roman d'aventures : Angelo Pardi, jeune colonel de hussards exilé en France, est chargé d'une mission mystérieuse. Il veut retrouver Giuseppe, carbonaro comme lui, qui vit à Manosque. Mais le choléra sévit : les routes sont barrées, les villes barricadées, on met les voyageurs en quarantaine, on soupçonne Angelo d'avoir empoisonné les fontaines ! Seul refuge découvert par hasard, les toits de Manosque ! Entre ciel et terre, il observe les agitations funèbres des humains, contemple la splendeur des paysages et devient ami avec un chat. Une nuit, au cours d'une expédition, il rencontre une étonnante et merveilleuse jeune femme. Tous deux feront route ensemble, connaîtront l'amour et le renoncement.
-
Tous sont partis. Panturle se retrouve seul dans ce village de Haute-Provence battu par les vents au milieu d'une nature âpre et sauvage. Par la grâce d'une simple femme, la vie renaîtra.
Jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans Regain, avec un lyrisme sensuel, les liens profonds qui lient les paysans à la nature.
Jean Giono est né à Manosque en 1895. Il y fait ses études secondaires, puis travaille dans une banque. Après la guerre, il reprend son emploi et le garde jusqu'à ses premiers succès littéraires, en 1929, avec des poèmes et des romans qui expriment toute la poésie de la Haute-Provence : Colline, Un de Baumugnes, Regain, Jean le Bleu, Que ma joie demeure, Le Serpent d'étoiles, etc. Regain est le dernier roman de la «Trilogie de Pan», les deux autres étant Colline et Un de Baumugnes. Membre de l'Académie Goncourt en 1954, Jean Giono est mort à Manosque en octobre 1970. -
Sur le rude plateau provençal de Grémone, quelques hommes peinent tristement sur leurs terres, chacun de leur côté. Ils comprendront le message de joie et d'espérance que leur apporte le sage Bobi, vagabond au coeur généreux, et, malgré les difficultés de l'existence, la joie renaîtra sur le plateau.
Que ma joie demeure est un hymne à la vie, un chant merveilleux en l'honneur de la nature, des hommes et des animaux. -
"On comprenait que les hommes pourraient être aussi efficaces que Dieu dans d'autres domaines que la destruction." On ne peut qu'être d'accord avec le narrateur quand on voit la magnifique forêt qu'Elzéard Bouffier a élevée patiemment tout au long de sa vie. Écologiste avant l'heure ? Sans aucun doute. Ce berger a décidé de redonner sa superbe à cette lande déserte de Provence en plantant une forêt de chênes, de bouleaux, de hêtres et d'érables. Grâce à l'oeuvre d'un seul homme, la vie revient peu à peu dans cette contrée désolée. Une histoire de patience, de respect et d'amour de la terre dont il faudrait certainement prendre de la graine... + un dossier en quatre parties : Je découvre J'analyse Nous avons la parole Prolongements Classe de cinquième.
-
«Je ne peux pas oublier la guerre. Je le voudrais. Je passe des fois deux jours ou trois sans y penser et brusquement, je la revois, je la sens, je l'entends, je la subis encore. Et j'ai peur. Ce soir est la fin d'un beau jour de juillet. La plaine sous moi est devenue toute rousse. On va couper les blés. L'air, le ciel, la terre sont immobiles et calmes. Vingt ans ont passé. Et depuis vingt ans, malgré la vie, les douleurs et les bonheurs, je ne me suis pas lavé de la guerre. L'horreur de ces quatre ans est toujours en moi. Je porte la marque. Tous les survivants portent la marque. » Un texte bouleversant dans lequel Jean Giono livre, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, un véritable plaidoyer pour la paix.
-
«Elle était à ce moment-là, de beaucoup et de loin, la plus belle femme de Châtillon, et même d'ailleurs certainement. Quelqu'un qui l'a bien connue à ce moment-là me disait : Elle était belle comme ce marteau, vois-tu ! Et il me montrait le marteau dont il faisait usage depuis vingt ans (c'était un cordonnier), un marteau dont le manche était d'un bois doux comme du satin depuis le temps qu'il le maniait, dont le fer si souvent frappé étincelait comme de l'or blanc. Et avec ça elle était tout le temps affable et gentille.»
-
De Manosque à Florence, en passant par Milan, Venise, Padoue, Bologne, voici l'Italie de Jean Giono, romancier du bonheur. Le lecteur le suivra dans ses découvertes, avec un plaisir extrême. À chaque pas, le paysage et les êtres apportent leur leçon. Giono sait traduire le message d'une allée de cyprès sur une colline, du froncement de sourcils d'un Milanais, du battement de cils d'une Vénitienne. Il est délicieux de voyager avec un tel guide.
-
Le petit garçon qui avait envie d'espace
François Place
- Gallimard Jeunesse
- Folio Cadet ; Les Classiques
- 11 Octobre 2018
- 9782075106641
Un petit garçon se promène avec son père, mais les haies qui bordent le chemin l'empêchent de voir le paysage. Son père l'emmène alors au moulin, à la ruche, dans l'atelier du forgeron. Le soir venu, ses rêves le conduisent au pied d'un arbre. Il grimpe tout en haut puis s'envole, libre comme un oiseau...
-
Les Vraies Richesses... Titre explicite pour une manière de récit et d'essai dénonçant la vanité de la vie citadine, de l'argent, célébrant la gloire du soleil, de la terre, des collines, des ruisseaux, des fleuves « qui m'irriguent plus violemment que mes artères et mes veines ». L'ouvrage débute par une promenade parisienne à Belleville, prétexte pour l'auteur à une réflexion sur les « racines ». Giono, visionnaire et virtuose du sacré, rejoint vite, d'un bel élan amoureux, ses chemins de traverse provençaux, ses paysans mythologiques, la loi du pain, le vent des rêves.
Ce livre n'a aucun genre et les a tous. Manifeste écologique ? Peut-être, mais pour une campagne moins électorale que poétique. -
Du fond de la vallée, Antonio et Matelot remontent le fleuve à la recherche d'un fils disparu. Leur quête les conduit au coeur du Haut Pays, terre d'amour, de vengeance et de mort.Un récit d'aventure mythique où la langue de Jean Giono se mêle aux aquarelles de Jacques Ferrandez pour célébrer une nature vivante et sensuelle.
-
Le petit garcon qui avait envie d'espace
Jean Giono
- Gallimard Jeunesse
- Folio Cadet Classique
- 4 Octobre 2007
- 9782070575480
Un petit garçon se promène avec son père, mais les haies qui bordent le chemin l'empêcheny de voir le paysage. Son père l'emmène alors au moulin, à la ruche, dans l'atelier du forgeron. Le soir venu, ses rêves le conduisent au pied d'un arbre. Il grimpe tout en haut puis s'envole, libre comme un oiseau...
Une promenade champêtre au pays de Jean Giono pour goûter au parfum des rêves et de la liberté.
-