Un récit bouleversant sur la vie de Daniela, partie de Roumanie pour travailler à l'étranger, et sa famille, leurs sacrifices et leurs tragédies, mais aussi leurs espoirs et leurs rêves Un matin, Manuel, seize ans, et Angelica, vingt-quatre ans, découvrent que leur mère Daniela est partie en pleine nuit, sans prévenir personne, pas même leur père, un homme désoeuvré, au chômage depuis des mois. Comme de nombreuses femmes de sa génération, elle s'est résolue à quitter la Roumanie post-communiste pour l'Italie, où il serait possible de s'enrichir très rapidement. Elle espère pouvoir ainsi payer des études à ses enfants et leur offrir un avenir.
Mais la réalité est bien différente, et les mois d'absence deviennent des années. Le fossé se creuse entre Daniela et ses enfants qui, malgré la nouvelle et relative aisance matérielle offerte par l'exil de leur mère, se sentent abandonnés. Jusqu'au jour où Daniela est précipitamment rappelée en Roumanie à la suite d'un événement tragique.
Dans ce roman choral, Marco Balzano explore l'univers des travailleuses de l'ombre, capables d'une humanité souvent absente de nos sociétés. Une histoire bouleversante de sacrifices et d'humiliation, mais aussi de rêves et d'espoirs.
Dans sa correspondance aux mille nuances, Giacomo Leopardi se montre généreux et ardent, tendre avec ses frères et ses neveux, indomptable face à l'adversité. Depuis sa solitude peuplée d'amis, il écrit sur le réconfort que les hommes se doivent les uns les autres. Ses lettres nous révèlent un poète enthousiaste, avide de gloire et de liberté. Loin d'être un « sombre amant de la Mort?», c'est un homme au désir de vie inextinguible.
Pourquoi l'Église catholique tient-elle tant à la chasteté des prêtres ? Comment les années de séminaire transforment-elles de manière décisive la vie affective et le rapport à la sexualité des futurs prêtres ? Si la question du célibat chez les membres du clergé fait régulièrement - et depuis des siècles - irruption au sein de l'Église catholique, elle est, en ce début de XXIe siècle, d'une terrible actualité.
Né de la volonté de comprendre la nature du lien entre sexe et formation cléricale, et de saisir la raison pour laquelle les membres du clergé apparaissent, en matière de sexe, si désintéressés en public et obsédés en privé, cet essai documenté est le résultat de longues années de recherche au cours desquelles Marco Marzano a notamment recueilli anonymement les témoignages de dizaines de prêtres, d'hommes ayant quitté le sacerdoce, mais aussi de « formateurs », psychologues et anciens compagnons et compagnes. De ce travail de recherche l'auteur tire un chiffre : seuls 10 % des prêtres appliqueraient leur voeu de chasteté. Mais plus que des statistiques, ces rencontres ont mis au jour des histoires douloureuses de personnes tourmentées et recluses, et permet de lever le voile sur la « culture du secret » qui règne au sein de l'Église, ces non-dits et tabous aux conséquences dramatiques. Là où le voeu de chasteté était le symbole du sacrifice des prêtres pour le salut de la communauté chrétienne, il devient fréquemment la source d'une souffrance et d'un sentiment de culpabilité grandissant lorsque cette règle est enfreinte.
L'écrivain-jardinier Marco Martella, auteur du «Jardin perdu» et de «Jardins en temps de guerre», ouvre de nouveaux espaces, fragiles et accueillants, empreints de "la poésie des fleurs". Narcisses, campanules, «zagare» (fleurs de citronniers), églantines ou berces du Caucase, les fleurs ici cueillies exhalent le souvenir nostalgique de l'enfance, d'une rencontre, d'un éblouissement, comme autant de concentrés de vie.
A la fin du XIIIe siècle, l'Europe chrétienne se prépare à la grande plongée qui, de la perte de la Terre sainte et de la Peste noire au grand Schisme, la conduira vers la Renaissance. Le monde islamique subit l'attaque mongole. Le Califat, Byzance et le Saint-Empire germanique vont sombrer. C'est à cette époque charnière que trois marchands vénitiens, Nicolo, Mafeo et Marco Polo sillonnent le monde. De 1250 à 1270, les deux aînés visitent Constantinople, la Russie et poussent à travers l'Asie centrale vers la Chine. A partir de 1271, Marco Polo se joint à eux. Ils traversent les hauts plateaux d'Anatolie, l'Iran, le Haut Afghanistan, le Pamir et le Turkestan chinois pour arriver à Pekin. Seize ans de séjour en Chine permettent à Marco Polo de parcourir une partie importante du pays. Le retour les conduira vers d'autres contrées : l'Indochine, Ceylan, les côtes indiennes. Et même des régions jusqu'alors non visitées comme les côtes de l'Arabie, l'Ethiopie et le littoral africain jusqu'à Zanzibar seront fidèlement décrites à travers les témoignages recueillis. Le livre de Marco Polo se présente non seulement comme une géographie complète de son temps mais comme un témoignage unique qui étale aux yeux de l'Europe en crise les incomparables richesses et le degré de civilisation de l'Asie. Marco Polo clôt l'ère des géographes du légendaire pour ouvrir celle des précurseurs des explorateurs et des colonisateurs des temps modernes.
Trina s'adresse à sa fille, Marica, dont elle est séparée depuis de nombreuses années, et lui raconte sa vie. Elle a dix-sept ans au début du texte et vit à Curon, village de montagne dans le Haut-Adige, avec ses parents. En 1923, ce territoire autrichien, annexé par l'Italie à la suite de la Première Guerre mondiale, fait l'objet d'une italianisation forcée : la langue allemande, qu'on y parle, est bannie au profit de l'italien. Trina entre alors en résistance et enseigne l'allemand aux enfants du bourg, dans l'espoir aussi de se faire remarquer par Erich, solitaire aux yeux gris qu'elle finira par épouser et dont elle aura deux enfants, Michael et Marica.Au début de la guerre, tandis qu'Erich s'active dans une farouche opposition aux mussoliniens et au projet de barrage qui menace d'immerger le village, la petite Marica est enlevée par sa tante, et emmenée en Allemagne. Cette absence, vive blessure jamais guérie chez Trina, sera le moteur de son récit. Elle ne cachera rien des fractures apparaissant dans la famille ou dans le village, des trahisons, des violences, mais aussi des joies, traitées avec finesse et pudeur.
Les Prières réunit trois romans inédits en français : Le Fleuve, Paolina, Proviseur.
Dans Le Fleuve, Alessandro erre la nuit à la recherche de l'homme qui a sauvé son fils de la noyade. Paolina chemine seule dans la ville à la recherche des trois hommes avec qui elle a fait l'amour. Elle a quinze ans, trois roses à la main données par une Tsigane, et elle a jusqu'au soir pour savoir si elle gardera ou non l'enfant qu'elle porte. Dans un triste lycée de banlieue, un proviseur, qui s'est rêvé écrivain, se retranche dans son bureau avec deux otages et son fusil de chasse. Chacun des protagonistes de cette nouvelle trilogie romaine prie pour que change le cours de son existence. Ils ont tous le dos au mur, « à la recherche de quelque chose de plus grand qu'eux », écrit Lodoli dans sa préface à l'édition française. Dans l'impasse, ils n'ont rien sinon leur extrême « pauvreté » qui les protège et les sauve. L'important, c'est le chemin parcouru, jalonné de rencontres édifiantes, grotesques, drôles, généreuses, nécessaires. On ira à la fête des vieux enfants, on sauvera une vie dans la nuit, on croisera une lignée de cartomanciennes, un musicien punk, un escrimeur, un orphelin africain, un Dieu pas très catholique au téléphone, des prostitué(e)s, un sanglier blessé, des amours perdus.
« C'est une évidence qui m'apparaît chaque fois que je m'assois pour contempler la mer : quiconque vient frapper à nos portes, qu'il soit réfugié, pauvre ou voyageur, représente pour ce monde le seul salut possible, le seul véritable espoir contre la violence de l'histoire. ».
Quand un bateau de réfugiés kurdes s'échoue près de son village de Riace, sur la côté calabraise, Mimmo Lucano les accueille comme ses frères. Devenu maire, il met en place un programme d'intégration inédit qui redonne vie à un village en train de s'éteindre. Grâce à lui, des centaines d'hommes et de femmes retrouvent leur dignité. Grâce à eux, Riace renaît. Le célèbre « maire des migrants » raconte ici une aventure humaine où les petits gestes deviennent très grands, une lutte où l'espoir et le courage s'unissent contre la barbarie des temps.
Au retour de plus de vingt années de pérégrinations, dont un séjour de seize ans à la cour de l'empereur mongol de Chine, le marchand vénitien Marco Polo (1254- 1324) dicte en 1298 le récit de ses voyages, qui nous émerveille aujourd'hui comme il a émerveillé ses contemporains.
Vivant, coloré, pittoresque, souvent étonnamment précis, cet ouvrage si célèbre - et à si juste titre - passionnera tous ceux qui mesurent l'importance de cette première découverte approfondie de la Chine par un Occidental.
Pendant le confinement du printemps 2020, alors que l'Italie n'arrive plus à compter ses morts, une photo fait le tour du monde : le pape François, de son balcon, bénit la place Saint-Pierre entièrement vide. Les cérémonies de Pâques ont été annulées, les chrétiens souffrent de ne plus pouvoir se retrouver ni prier ensemble, mais le pontife est toujours là pour incarner le message de l'Église.
François ressent la nécessité d'éclairer cette période d'obscurité, d'aider les gens à retrouver un sentiment religieux qui semble perdu avec la pandémie, de leur redonner un élan d'espoir et de solidarité, de foi et de courage. Profondément attentif aux dynamiques contemporaines, il se montre très critique à l'égard des gouvernements populistes : privilégier l'économie face à la Covid-19 s'apparenterait à un génocide. Ses discours quotidiens ne cessent de rappeler les trois grandes menaces qui pèsent sur le monde actuel : l'iniquité, le nouvel esclavage subi par les plus démunis et la ruine de la nature.
Dans ce livre passionnant, rigoureusement documenté, Marco Politi décrit les bouleversements à l'oeuvre dans l'Église, et montre pourquoi le pape François, tandis que la pandémie continue de faire des ravages, est le seul dirigeant au monde capable de prendre le recul nécessaire pour penser la société de demain et favoriser sa renaissance.
Novembre 1966. Giacomo, treize ans, disparaît à la sortie du collège. Faute d'indice, le commissaire Bordelli s'accroche à une mince piste qui le mènera parmi des nostalgiques du fascisme et de Mussolini. Plus que jamais hanté par la guerre, il affiche une humeur aussi noire que le ciel qui surplombe alors Florence. Rien ne le soulage, ni ses amis, ni son jeune bras droit Piras, ni les plats succulents de Toto, ni même la jolie jeune femme brune dont il fait la connaissance. Quelques jours plus tard, sous l'effet des pluies torrentielles, l'Arno déborde et déverse dans les rues des flots de boue qui paralysent la ville. Et tandis que la ville sombre, la disparition de Giacomo semble destinée à rester impunie...
Ce portrait sombre et inédit de la cité toscane a remporté le prix Scerbanenco, la plus haute récompense du polar italien.
« La Rome vagabonde de Lodoli n'appartient à aucun guide touristique : c'est une ville d'îlots de beauté et de poésie qui émergent d'un dimanche pluvieux, ou d'un après-midi ensoleillé, mais que seul un oeil clairvoyant est capable de saisir.
C'est une place immobile redevenue une toile de De Chirico ; une statue nichée dans une église hors des sentiers battus ; un bar où la nuit se transforme en odyssée
de solitudes, d'amours et d'existences fortuites. Autant d'infimes découvertes que Rome offre à celui qui est en mesure de fouiller les détails, et est prompt à s'esquiver pour filer loin de la foule, emprunter au hasard une ruelle, jeter un oeil à une arrière-cour et fureter entre les pierres de la cité à la recherche d'une île insoupçonnée. Lodoli musarde dans la ville éternelle, se laissant envoûter par les insignifiants charmes urbains. Il faut savoir y retenir le temps et apprendre à se dépoussiérer le regard pour en éprouver l'instant profond. »
Il existe une rome qu'on ne peut trouver dans aucun guide touristique, une ville dans la ville faite d'inattendus fragments de magie. une Rome où le mot d'ordre est de flaner, du printemps à l'hiver, sous la pluie et sous le soleil, le nez en l'air ou les yeux bien ouverts dans l'attente d'une découverte qui arrêtera le temps et le regard : un chef d'oeuvre oublié, une place remplie de poètes, l'éléphant du bernin avec un obélisque sur le dos.
Neuf ans après Îles, Lodolii retourne vagabonder dans la capitale pour récupérer des nouveaux moment de grâce.
Carl, grâce à sa profonde empathie, réussit à pénétrer les souvenirs des autres et à les rendre réels. Effrayé par son pouvoir, il décide de s'isoler aux confins de l'Irlande. Mais peut-on vraiment fuir nos souvenirs, aussi douloureux et tourmentés soient-ils ?
Florence, été 1963. Le commissaire Bordelli est appelé dans une somptueuse villa dont la propriétaire ne donne plus de nouvelles. Il trouve la vieille femme inanimée sur son lit, ayant succombé apparemment à une violente crise d'asthme. Mais, devant cette scène trop parfaite, le doute s'installe rapidement, et les analyses médicales vont venir confirmer qu'il s'agit d'un meurtre. Bordelli mène l'enquête, aidé du jeune Piras et entouré de personnages hauts en couleur - Diotivede, le médecin légiste ; Dante, le frère de la défunte, scientifique génial et excentrique ; Botta, voleur et cuisinier hors pair ; Rosa, prostituée au grand coeur. Désabusé, nostalgique, solitaire, mais gourmand et bon vivant, le commissaire se meut dans une Florence déserte écrasée par une chape de chaleur, au volant de sa Coccinelle et poursuivi par ses souvenirs de la guerre et de la Résistance.
Les Promesses de quoi ? Les trois romans portent-ils des promesses ? Oui, quelques-unes. Sorella promet quil y a aura une connaissance après la douleur, et peut-être même une félicité. Italia promet quoi quil arrive un sens au cours fatal de lexistence, ça ne saute pas aux yeux, mais lange, lui, connaît lhistoire : le temps est un petit bout déternité. Et Vapore promet finalement le pardon, les contraires se rencontrent, les contraires se détruisent, quelque chose, cependant, sait absoudre tant de misère humaine. (Marco Lodoli).
Trois courts romans, donc, où chacun sentend dans un autre par un jeu de reflets et didentiques questionnements. Les personnages sont ancrés dans le réel et la vie qui se délite, mais lauteur, sil jongle avec beaucoup déléments autobiographiques, fait basculer tout cela du côté du réalisme magique. Une religieuse, une servante, une vieille femme : trois narratrices dévident tour à tour dans Les Promesses un récit somnambulique et « vont porter le mystère de lexistence ». Le roi du monde qui tirait les ficelles des Prétendants a abandonné la partie et les trois textes sont émaillés de « Ils » : une entité incertaine, quelque chose qui est plus loin des hommes et qui veille sans sentiments au bon fonctionnement de la mécanique à étioler. Entre « eux » et les humains, il se pourrait aussi que les anges aient à travailler éthérés mais pas exactement en plein ciel. Ils vous attendent plutôt dans lescalier ou au pied de limmeuble. Ils sont autres que ce quon nous a conté, dailleurs sont-ils du bon côté... Ils sont.
Nos quatre armchair detectives se penchent cette fois-ci sur l'assassinat d'un mystérieux professeur japonais débarqué en Italie pour un congrès. Koichi Kawaguchi, informaticien et chercheur, semble avoir découvert avec son équipe une équation pour le calcul de la puissance de certains éléments chimiques. La clé qui permettrait de résoudre cette affaire devrait donc se trouver dans son ordinateur. Pourtant, il se révèle banal et ne contient rien de significatif... Mais nos héros savent que, dans la vie comme lors d'une partie de carte, il faut parfois savoir montrer ses artifices pour mieux les cacher.
Comment une voleuse très dangereuse peut-elle sauver l'univers ? La réponse se trouve dans les actions d'Helen Bristol.
Un groupe religieux fanatique, les Erer, veut imposer avec violence leur culte à l'univers entier. Les fanatiques ont soustrait l'idole sacrée des Kairos et menacent de le détruire si les Kairosiens devaient empêcher, avec leur système de défense du système solaire, leur tentative d'invasion. Helen Bristol est le seul espoir de la galaxie : elle doit absolument récupérer l'idole.
Du conclave à aujourd'hui, l'ascension du pape François s'est faite avec la volonté claire de refonder l'Église. Des tensions à l'intérieur même de ses rangs se font sentir alors qu'il tente de faire bouger les lignes sur la richesse des évêques, l'intégration des femmes aux instances de décision ou encore la position de l'Église sur le divorce ou l'homosexualité.
Une plongée dans les arcanes du pouvoir pontifical et dans les intrigues de la Curie qui révèle les dessous d'une guerre impitoyable.
Marco Politi est l'un des meilleurs connaisseurs du Vatican, dont il est le spécialiste au journal La Repubblica depuis une vingtaine d'années. Il est également le correspondant de plusieurs chaînes de télévision : ABC, CNN, BBC, RAI, ZDF, France 2.
Une histoire extraordinaire et insolite dans laquelle le regard des célèbres photographes de l'agence Magnum Photos explore le cyclisme, l'un des sports les plus populaires et les plus appréciés de tous les temps.
Une histoire en images qui ne se limite pas aux exploits des champions et des grands événements internationaux, Tour de France en premier lieu, mais traite aussi du quotidien et de la surprenante humanité de tous ceux qui sont impliqués d'une manière ou d'une autre.
Contrairement à la photographie sportive traditionnelle, les images rassemblées ici - provenant des immenses archives de la célèbre agence américaine, fondée à New York en 1947 - racontent à vélo à travers la sensibilité et l'ironie de ces auteurs, dans un chemin "étapes" qui part des clichés de Robert Capa et arrive à nos jours, à travers l'objectif d'Alex Majoli. Une histoire qui enquête sur la dimension humaine de l'un des sports les plus suivis par grand public, qui va au-delà des exploits sportifs et révèle l'alchimie du cyclisme, le seul sport, comme l'a répété Gianni Mura, où « ceux qui fuient ne sont pas des lâches ».
Photographes : Robert Capa, Guy Le Querrec, Christopher Anderson, Harry Gruyaert, René Burri, Stuart Franklin, Raymond Depardon, Peter Marlow, AlexMajoli textes : Gianni Mura, Marco Minuz.
Exposition : du 1er juillet au 26 septembre 2021 - itinérante.
1493. Léonard de Vinci travaille au cheval de bronze promis à Ludovic le More, duc de Milan, pour honorer son père Francesco Sforza. Quand un cadavre est retrouvé dans la cour du château, le Seigneur fait appel au génie de Léonard, comptant sur ses connaissances en anatomie et son intuition pour éloigner les soupçons de peste et démasquer le jeu d'intérêts croisés des Este et du roi de France. Un roman historique plein d'invention, un voyage surprenant dans une des périodes les plus fascinantes de l'histoire italienne : la Renaissance.